Nom :/
Prénom :Luciole
Race :Orixien
Sexe :Masculin
Age :22 ans
Classe :Mage
Élément :Feu
Description physique :Luciole possède des yeux d’un jaune parsemé de rouge accompagné d’une longue chevelure grise tirant sur le noir et volant librement tout en étant attachée.
Possédant un corps relativement svelte, il mesure 1m70 pour 60kg.
Aimant les armures souples et légères, il adore par dessus tout qu’elles soient grises. Il est toujours accompagné de sa lance.
Il a également l’air d’être toujours dans la lune, voir mélancolique.
Description caractérielle :Luciole est quelqu’un d’assez distrait, il a une fâcheuse tendance à oublier de dire les choses importantes quand il les connaît. Dans les cas comme celui-là, si on ne lui demande la chose, bien souvent il ne l’a dit pas.
Lorsqu’il s’adresse à quelqu’un, il se peut que la conversation semble lointaine, voir incompréhensible pour son interlocuteur, il va parfois « entrer dans son monde » et partir dans un monologue sans se soucier de la personne qui est face à lui. Il n’hésite pas à dire se qu’il pense et comme il le pense. Mais, même s’il semble juste un peu désintéressé de toute chose, son regard brille d’une lueur montrant qu’il a vécu des moments difficiles.
Ses réactions peuvent parfois être surprenantes, voir presque stupides car même s'il n'oublie pas le passé, il est quelqu'un d'assez spécial.
Bien qu’il puisse paraître distant dans certaines situations, il garde un esprit vif et critique pour analyser la situation le plus rapidement possible.
Histoire :Jeune homme, de 14 ans, prometteur du peuple Oryxien, Keikoku aurait pu devenir un grand Mage dans ce pays corrompu si sa mère n’avait pas été victime des caprices des soldats sensés protégés les habitants et non les tuer …
Suite à cet événement, il décida de faire tout son possible pour changer se pays en renversant le pseudo pouvoir mis en place.
Cependant, il devait d’abord s’abaisser à entrer dans les hautes sphères pour pouvoir changer le monde de l’intérieur …
Le temps passant, il gagna un poste dans un petit bataillon de « futurs élites » de l’armée Oryxienne. Suite à ce poste, il fut assigné à un beau nombre de mission fort variée jusqu’au jour ou tout bascula pour lui …
C’est à l’âge de 20 ans, lors d’un raid sur un petit village, où il avait reçu l’ordre de ne laisser aucun survivant, que sa vie bascula. Alors qu’il cherchait la raison de ce massacre, il refusa de donner suite aux ordres donnés car il ne comprenait pas ce qui expliquait de tels gestes.
Une fois de retour au pays, il vit, planté sur des piques dressés devant chez lui, les têtes des villageois qu’il avait épargnés. C’est alors qu’une voix se fit entendre derrière lui …
« Depuis le début, nous n’avons jamais eu confiance en toi … »Il se retourna violement …
« Voix ou ta traitrise te mène maintenant … » Les larmes lui montèrent aux yeux …
« Tout est de ta faute !!! »D’immenses haches s’abattirent et le seul mot qu’il put entendre fut :
« FUIS, Keikoku, FUIS !!! »Et la tête de son père fut délogée des ses épaules. Elle fut rapidement suivie par celle de son jeune frère, unique famille qu’il lui restait.
N’ayant pas le cœur à abandonner les dépouilles de sa famille, mais respectant le dernier ordre de son père, il partit dans l’espoir de pouvoir, un jour, se venger de cette nation aimant le massacre et la guerre.
Mais, la fuite ne fut pas chose aisée, course poursuite dans la ville, suivie d’une chasse à l’homme dans les bois, voilà ce qu’il vécu pendant trois jours et deux nuit. Et au levé du soleil le troisième jour, alors que la fatigue se faisait ressentir jusqu’au plus profond de tout son être, que la douleur d’une course sans fin se lançait à chaque pied posé sur le sol, une flèche fut décochée et vint lui entailler la base du crâne. Keikoku tomba alors dans le ravin qu’il longeait avant de finir dans la rivière qui le porta loin de ses poursuivants. Ce fut le dernier souvenir qu’il eut jusqu’au moment de se réveiller sur la rive, l’esprit embrumé avec cette horrible haine envers le peuple qui était le sien.
Suite à tous ses événements qu’il avait vécu, il décida d’abandonner son nom de Keikoku, qui lui rappelait trop de tristesse, colère, haine et détresse pour prendre le premier qui lui vint à l’esprit :
Luciole, en hommage aux insectes portant le même nom qui émettaient une lumière semblable au feu qui sommeillait en lui …
Phrase Type :« Bha … »
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